Les idéologies du XXe siècle

Publié le 9 Janvier 2024

Le Péril jeune (1994)

Le Péril jeune (1994)

L'istoire du XXe siècle reste traversée par des révoltes spontanées et des luttes émancipatrices. Cependant, ces mouvements sont rapidement étouffés par des partis d'avant-garde qui prétendent guider les masses au nom d'une idéologie abstraite. L'histoire des idéologie permet de retracer une histoire des échecs des révolutions. 

 

 

La chute de l'URSS aurait enterré les utopies émancipatrices selon la plupart des universitaires et des politiciens. Néanmoins, des Gilets jaunes au Hirak en Algérie, s’observe une multiplication des soulèvements. La liberté, récupérée par les libéraux, reste portée par les insurrections qui secouent l’ordre existant. Cependant, la liberté s’apparente désormais à un principe poussiéreux pour textes constitutionnels. Pourtant, la liberté d’agir a été arrachée à travers les luttes et les insurrections du XIXe siècle.

Le principe de liberté et d’émancipation sont portées au XXe siècle par de puissantes organisations. Mais les partis réduisent la liberté et la libération à une idéologie bien éloignée de l’expérience concrète. Désormais, ces dogmes alternatifs ont disparu et le libéralisme apparaît comme la seule idéologie qui est parvenue à s’imposer. L’historienne Michèle Riot-Sarcey présente son regard sur le XXe siècle dans le livre L’émancipation entravée.

 

                     L Émancipation entravée - L idéal au risque des idéologies du XXe siècle - 1

 

La social-démocratie

 

Avec l’industrialisation et l’accentuation de l’exploitation en Europe, la classe ouvrière s’organise de manière plus centralisée. Les acteurs composites du mouvement ouvrier s’effacent progressivement au profit de leurs « représentants », avec les élus et les permanents des organisations politiques nationales et internationales. Mais les grandes orientations des congrès semblent en décalage avec la conflictualité de classe. La IIe Internationale est dirigée par des théoriciens censés élaborer les stratégies des partis. Cette supposée avant-garde prétend guider la classe ouvrière. « Le prolétariat trop exploité, trop ''incensé'', ne serait plus en mesure de s’auto-émanciper. On assiste alors aux prémisses d’une séparation des tâches entre ceux qui savent et ceux qui subissent », observe Michèle Riot-Sarcey.

Les utopies sont abandonnées. Les syndicats mettent un terme aux soulèvements intempestifs pour mieux prétendre garantir la défense des intérêts immédiats des travailleurs. La libération devient une idéologie élaborée par des théoriciens coupés des pratiques sociales et des ouvriers eux-mêmes. La révolution devient un horizon lointain qui doit s’inscrire dans la stratégie des partis. Les sociaux-démocrates et les marxistes-léninistes adhèrent à l’idée d’une conquête du pouvoir, sous quelle forme que ce soit, par des professionnels de la politique. Cette vision est renforcée par les historiens du mouvement ouvrier qui préfèrent se pencher sur les textes de congrès plutôt que sur les luttes sociales et les pratiques concrètes.

 

Les congrès de la IIe Internationale visent à écarter les anarchistes encore influents dans les syndicats. L’insurrection spontanée est abandonnée au profit de la conquête du pouvoir par la voie légale et parlementaire. Néanmoins, les grèves et les révoltes ouvrières ne cessent de se développer. Mais la conquête de l’État devient le seul horizon pour résoudre la question sociale. L’action collective est conditionnée par les orientations des partis qui commencent à participer aux instances des pouvoirs en place.

Lorsque la politique se réduit à la gestion des États, l’idéologie nationaliste peut prospérer. Mais les belles déclarations de principe internationalistes n’empêchent pas les élus des partis ouvriers de voter les crédits de guerre. Seuls les syndicalistes révolutionnaires tentent de lancer des mouvements de grève pour s’opposer à la guerre de 1914.

 

 

    libertarias

 

 

Les révolutions

 

Entre 1917 et 1921, les pratiques d’auto-organisation ressurgissent. Les soviets et les conseils ouvriers émergent en Russie et en Allemagne. « Entre 1917 et 1922, l’idéologie n’a pas encore immobilisé les actions en cours, l’émancipation collective reste un horizon possible et les soulèvements populaires suscitent dans certaines régions des formes d’auto-organisation difficiles à contrôler tant que le réel de l’utopie est à l’œuvre », souligne Michèle Riot-Sarcey. Cependant, ces révolutions échouent. En Allemagne, l’insurrection spartakiste reste impulsée par une minorité qui n’est pas suivie par la population. En Russie, les soviets sont progressivement contrôlés et réprimés par les bolcheviks.

Le Parti communiste se veut à l’avant-garde de la classe ouvrière. Son idéologie estime qu’une élite intellectuelle doit guider les masses vers la révolution. Les courants associés aux soulèvements qui précèdent 1917 sont considérés comme « réactionnaires ». Ce modèle marxiste-léniniste rejoint le libéralisme et la démocratie représentative qui considèrent que l’exercice du pouvoir doit passer par le gouvernement d’une élite intellectuelle.

En 1936, face à la montée du fascisme et de la guerre, les fronts populaires en France et en Espagne ouvrent un espoir. Le 6 février 1934, les ligues fascistes défilent dans les rues de Paris. Une contre-manifestation s’organise. Les ouvriers des différents partis de gauche s’unissent dans un même cortège. Ensuite, les syndicats de la CGT et de la CGTU fusionnent. Ce qui prépare l’alliance électorale des socialistes avec le Parti communiste. Léon Blum, devenu chef du gouvernement, entend respecter la légalité et les institutions bourgeoises.

 

Mais une vague de grèves éclate en juin 1936 avec des occupations d’usines. Cependant, ce mouvement spontané n’est pas porté par des comités d’action autonomes. Il reste guidé par les stratégies des organisations politiques et syndicales. La philosophe Simone Weil estime que la force du mouvement repose sur la joie de la grève avec la solidarité, la convivialité, les fêtes et la dignité retrouvée. « Le triomphe électoral ne pèse guère aux côtés de ce sentiment d’être chez soi, ensemble dans les lieux d’activité collective où chacun se réapproprie l’espace et les outils de travail. La hiérarchie professionnelle est contrainte de s’incliner », souligne Michèle Riot-Sarcey.

En Espagne, le monde paysan reste attaché à des pratiques de solidarité et d’autonomie locales. Ce qui permet au communisme libertaire espagnol de devenir particulièrement influent. En 1936, face au coup d’État de Franco, une révolte sociale éclate de manière spontanée. Les paysans occupent les terres agricoles. Ce moment demeure la plus importante expérience de collectivisations paysannes et urbaines.

Néanmoins, les décisions du gouvernement républicain s’attachent à limiter l’autonomie concrète de ces collectivités. Le Parti communiste espagnol estime que l’instauration d’une démocratie libérale reste l’objectif central et ne veut donc pas froisser la bourgeoisie. Le pouvoir républicain s’oppose ainsi aux réquisitions et à toutes les formes d’auto-organisation. Pendant que l’armée franquiste avance, l’URSS attaque avant tout les opposants au stalinisme comme les anarchistes ou les militants du POUM.

 

 

    Louis Althusser

 

 

Le structuralisme

 

En 1945, le Parti communiste participe au gouvernement et défend l'effort de reconstruction. Il soutient le productivisme et s’oppose aux grèves. Cependant, les ouvriers dénoncent les bas salaires. La conflictualité sociale resurgit rapidement. La grève de 1947 permet de briser l’alignement du PC et de la CGT sur le productivisme du pouvoir. En 1948, c’est une grève de mineurs qui éclate. En 1955, la grève à Saint-Nazaire prend même une tournure insurrectionnelle. Le mouvement déborde les syndicats.

En 1948, Jean-Paul Sartre fonde le Rassemblement démocratique révolutionnaire (RDR). Cependant, la voie reste étroite pour ce parti qui s’oppose à la fois aux gaullistes et aux communistes. Ce courant critique autant le capitalisme que l’URSS. Cependant, Sartre et le RDR finissent par s’aligner sur les positions du Parti communiste.

Durant les années 1950 et 1960, la gauche intellectuelle reste dominée par le marxisme orthodoxe imposé par le Parti communiste. Mais l’idéologie structuraliste devient progressivement à la mode dans les milieux universitaires. L’anthropologue Claude Lévi-Strauss s’attache à dégager des règles immuables et des déterminismes qui régissent les sociétés. L’historien Fernand Braudel insiste sur les structures économiques et sociales qui s’observent sur la longue durée.

Cependant, Henri Lefebvre propose une critique percutante de l’idéologie structuraliste. Il estime que ce courant considère les sociétés comme figées. Cette mouvance structuraliste est incapable de penser l’action humaine, l’événement et le réveil de l’histoire. Les sociétés seraient condamnées à perdurer, et non à se transformer.

 

Le philosophe Louis Althusser estime que le mouvement ouvrier doit se doter d’une théorie. En bon léniniste, il estime que les luttes sociales ne peuvent déboucher que sur du réformisme ou de l’anarcho-syndicalisme. C’est donc une avant-garde intellectuelle qui doit guider les masses vers le communisme. Althusser élabore ainsi une théorie de la lutte des classes qui demeure abstraite et mécanique. Son ancien disciple Jacques Rancière observe que cette approche idéologique ne s’appuie pas sur les expériences des ouvriers ni sur leurs pratiques concrètes.

Néanmoins, Althusser exerce une influence majeure dans les milieux intellectuels français. Il forge de nouveaux concepts comme « appareils idéologiques d’État » et inspire une nouvelle génération d’intellectuels marxistes incarnée par Étienne Balibar. Ce structuralisme influence également Michel Foucault qui se focalise également sur les idéologies et sur la reproduction du pouvoir. Néanmoins, cette approche vise à gommer les luttes sociales et l’action collective.

 

 

              Meeting de Amicale des Algériens en France (Mohammed Harbi au centre), Paris, le 22 mars 1965 - Archives privées Mohammed Harbi

 

 

Les mouvements de libération nationale

 

La lutte pour l’indépendance de l’Algérie contribue également à briser le consensus national. Mais la répression est particulièrement féroce. En 1945, l’armée massacre la population de Sétif et Guelma qui descend dans la rue et brandit des drapeaux algériens. Même à Paris, le 14 juillet 1953, la police tire sur la foule des manifestants.

Les mouvements de libération nationale s’opposent au colonialisme. La guerre en Indochine se traduit par la défaite de la France à Diên Biên Phu. Néanmoins, l’État colonial a lancé une nouvelle forme de guerre avec l’usage des produits chimiques, comme le napalm, déversés sur la population. La torture, les emprisonnements et les exécutions sommaires se banalisent. La guérilla est menée par les communistes qui s’appuient sur les nationalistes et sur la petite paysannerie attachée au partage de la terre. Les communistes parviennent ainsi à se fondre dans la population qui les soutient.

La France multiplie les « massacres coloniaux », selon l’expression de l’historien Yves Benot. La guerre au Cameroun, encore occultée de l’histoire, vise à éradiquer la lutte indépendantiste de l’UPC et permet d'instaurer un régime soumis à la France. Cette méthode contre-insurrectionnelle est appliquée dans de nombreux pays qui forment la « Françafrique ». Le pouvoir colonial parvient à préserver sa domination politique et économique même après les indépendances.

 

En Algérie, la résistance se déplace du maquis vers les villes. Une vague de grèves éclate en janvier 1957. Les ouvriers, les étudiants, les chômeurs s’emparent des centres des grandes villes dont ils sont exclus. Les indépendantistes lancent le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). Des grandes manifestations dans les villes algériennes permettent aux indépendantistes de prendre le pouvoir.

En 1962, les expériences autogestionnaires en Algérie sont étouffées par la logique étatiste. Le gouvernement du FLN entend garder le contrôle sur l’économie mais la société algérienne reste traversée par des rapports de classe après la décolonisation. Les mouvements nationalistes comme le FLN reproduisent la démarche du parti d’avant-garde. C’est une élite intellectuelle et politique qui doit guider le peuple vers sa libération. Les nationalistes restent éloignés des processus d’auto-émancipation. Mohamed Harbi décrit cette idéologie comme un « populisme révolutionnaire » davantage fondé sur le nationalisme et la religion plutôt que sur la lutte des classes.

 

 

 

Les luttes des années 1968

 

La révolte de Mai 68 émerge dans les universités. Le scandale de Strasbourg et le mouvement du 22 mars à Nanterre lancent le mouvement. Les étudiants remettent en cause les méthodes d’enseignement, mais aussi l’ordre capitaliste dans son ensemble. La grève de Mai 68 est portée par des ouvriers qui réclament des augmentations de salaires, mais aussi une amélioration des conditions de travail et une remise en cause de la hiérarchie dans l’entreprise. « Tout un monde se réveille et prend conscience de la réalité de l’exploitation quotidienne et de l’aliénation dont ils et elles cherchent à se délivrer », décrit Michèle Riot-Sarcey.

Les modes d’action se renouvellent. Des assemblées générales se lancent en dehors des syndicats. Des comités d’action diffusent des tracts et des affiches. Des discussions s’interrogent sur l’avenir du mouvement et de la société. La reprise du travail apparaît comme le tournant décisif. Les syndicats militent pour l’arrêt de la grève. Dans le film La reprise du travail aux usines Wonder, une jeune ouvrière refuse ce retour à la normale et la fin des espérances de changement radical. Un syndicaliste tente de la convaincre de rentrer dans l’usine. Claude Lefort analyse Mai 68 comme une révolte spontanée qui s’oppose aux appareils bureaucratiques.

Les luttes sociales se multiplient durant les années 1968. La grève de Lip devient emblématique. Les ouvriers s’auto-organisent. Surtout, ils lancent un mode d’action original. Ils réquisitionnent le stock de montres pour les vendre au profit de la caisse de grève. Charles Piaget et la CFDT permettent de lancer le mouvement à travers des débrayages dans l’usine. Mais le syndicat ne prétend pas diriger la grève. Il se fond dans une assemblée ouverte qui permet la discussion collective au-delà des étiquettes militantes. Cependant, Edmond Maire et la direction de la CFDT récupèrent la lutte des Lip pour imposer le concept d’autogestion qui dérive progressivement vers la cogestion.

 

Dans les années 1960, la contestation ouvrière se développe dans les usines du Nord de l’Italie. Des jeunes travailleurs sous-payés viennent de régions rurales de l’Italie du Sud. « L’automne chaud » de 1969 se déroule dans une des plus grandes concentrations ouvrières d’Europe : la Fiat Mirafiori. La faiblesse des syndicats favorise des conditions de travail particulièrement pénibles avec le rythme du travail, les produits toxiques et le bruit en continu. Les ouvriers inventent des modes d’action inédits comme les arrêts ponctuels des chaînes de montages, les manifestations dans les usines ou les grèves tournantes.

Des assemblées ouvrières et étudiantes se réunissent à Turin. Les revendications portent sur l’augmentation des salaires, la diminution du temps de travail mais aussi sur l’abolition des différents statuts dans l’entreprise. Les ouvriers s’auto-organisent et dirigent eux-mêmes leur lutte sans se reposer sur la délégation des syndicats. Le comité de Porto Marghera, une usine près de Venise, regroupe des ouvriers plus jeunes et plus diplômés qui réfléchissent sur leurs stratégies de lutte. Le mouvement autonome italien attaque l’exploitation dans la vie quotidienne avec des grèves de loyers et des auto-réductions de factures d’électricité.

 

 

            

 

 

Pratiques de lutte

 

Michèle Riot-Sarcey dresse un brillant panorama de l’histoire du XXe siècle. Certes, l’historienne est davantage spécialisée sur les luttes ouvrières dans la France du XIXe siècle. Ce qui pouvait laisser craindre un vulgaire livre de commande auprès d’une historienne qui connaît davantage les succès de librairie que la période qu’elle est censée traiter. La fameuse somme d’Éric Hobsbawm sur L’Ère des extrêmes semble s’inscrire un peu dans ce travers. Au contraire, Michèle Riot-Sarcey évite certains pièges.

Déjà, l’historienne ne prétend pas embrasser une histoire exhaustive de la période avec sa chronologie détaillée. Elle brosse un panorama des luttes et des idéologies du XXe siècle avec une véritable réflexion critique. Surtout, contrairement à Hobsbawm, Michèle Riot-Sarcey ne réduit pas l’opposition au capitalisme à la mouvance stalinienne et à l’URSS. Elle se penche sur les courants plus marginaux, mais qui ont impulsé de nouvelles pratiques de lutte. L’historienne réalise un véritable travail de recherche qui la conduit à évoquer les courants libertaires, le communisme de conseils ou l’autonomie italienne. Ces tendances les plus précieuses du mouvement ouvrier restent trop souvent éludées ou méconnues de la part des universitaires.

 

Surtout, Michèle Riot-Sarcey nourrit cette bonne connaissance des débats qui traversent le XXe siècle avec des réflexions structurantes. Sa problématique centrale vise à comprendre les échecs des luttes sociales. Michèle Riot-Sarcey oppose les mouvements auto-organisés, les révoltes spontanées et les pratiques d’autonomie ouvrière avec les idéologies qui visent à les fossiliser. En Russie, en Espagne, en Algérie ou en France, le même schéma semble se répéter. Des soulèvements éclatent et des pratiques d’auto-organisation émergent. Mais des partis au service d’une idéologie visent à centraliser, à contrôler puis à réprimer ces mouvements.

Michèle Riot-Sarcey observe que ces partis adoptent des idéologies diverses, du stalinisme à l’anarchisme en passant par le nationalisme ou la social-démocratie. Cependant, les partis se considèrent tous comme une élite intellectuelle et une avant-garde qui doit guider le peuple. Cette démarche fonde d’ailleurs la démocratie libérale qui réserve la politique à une poignée de professionnels censés représenter le reste de la population. Contre ces idéologies, Michèle Riot-Sarcey s’attache à valoriser les pratiques de luttes à la base. Ce regard sur le XXe siècle apparaît également comme une bonne grille d’analyse pour comprendre les débats qui traversent les soulèvements du XXIe siècle passés ou à venir.

 

Source : Michèle Riot-Sarcey, L’émancipation entravée. L’idéal au risque des idéologies du XXe siècle, La Découverte, 2023

 

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Pour aller plus loin :

Vidéo : La liberté critique, toujours menacée, toujours renaissante, diffusée sur le site de La Société Louise Michel le 15 avril 2023

Vidéo : Que reste-t-il des luttes émancipatrices du XXe siècle ?, émission diffusée sur France Culture le 6 avril 2023

Radio : Emission 151 : Une histoire de la liberté, l’émancipation entravée au XXe siècle, avec Michèle Riot-Sarcey, diffusée sur le site Chemins d'Histoire le 7 mai 2023

Philippe Petit , Michèle Riot-Sarcey, historienne : "Émancipation et utopie sont liées", publié sur le site du magazine Marianne le 29 mars 2023

Julien Morel, L’émancipation « entravée » : comment la politique empêche la liberté, publié sur le site Retro News le 23 mai 2023

Pierre Khalfa, À la recherche de l’émancipation perdue, À propos du livre de Michèle Riot-Sarcey, L’émancipation entravée, publié sur le site d'ATTAC le 16 juin 2023

Benoît Peuch, Note de lecture publiée sur le site Liens Socio le 27 avril 2023

Publié dans #Histoire des luttes

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