Le syndicalisme de Solidaires

Publié le 23 Janvier 2025

Le syndicalisme de Solidaires
Solidaires tente d'inventer un syndicalisme alternatif en marge des grosses confédérations. Les syndicats SUD émergent des coordinations et des pratiques d'auto-organisation depuis la base. Ce syndicalisme s'appuie également sur la diversité des mouvements sociaux. Cependant, Solidaires rencontre des difficultés pour se développer, notamment dans le privé, et reste traversé par des logiques de bureaucratie et de routinisation. 

 

 

Les cortèges dynamiques de l’Union syndicale Solidaires colorent les manifestations interprofessionnelles. Ce renouveau du syndicalisme de lutte tente de se démarquer des grandes confédérations traditionnelles. Ce syndicalisme « alternatif » repose sur une construction démocratique originale en lien avec le mouvement social. Mais cette organisation est frappée par un renouvellement générationnel ainsi que par les mutations du monde du travail. Ses structures professionnelles et territoriales doivent également évoluer. Ensuite, ce syndicat stagne autour de 100 000 adhérents et peine à se développer et à s’implanter dans de nouveaux secteurs.

Les syndicats SUD se multiplient dans le contexte de la grève de 1995. Des militants déçus des autres centrales, notamment avec le recentrage de la CFDT, fondent de nouveaux syndicats. Ces structures accompagnent les mouvements des « sans » et la vague de l’altermondialisme durant les années 1990. Solidaires reste imbriqué avec la diversité des mouvements sociaux en lien avec les collectifs féministes, antiracistes, écologistes et antifascistes. Ce qui permet de rester en phase avec les nouvelles générations. La revue Les Utopiques revient sur ce syndicalisme original dans son numéro « 25 ans de Solidaires ».

 

Murielle Guilbert et Simon Duteil évoquent la démarche de Solidaires. Ce syndicalisme s’attache à défendre les intérêts immédiats des salariés mais porte également une perspective de transformation sociale. Ces deux dimensions restent étroitement liées. Le syndicalisme du quotidien permet de créer de la solidarité avec les collègues et de lutter pour des améliorations concrètes des conditions de travail. Mais le syndicalisme d’entreprise peut également s’enfermer dans les instances de dialogue social avec le patronat. En revanche, le syndicalisme de transformation sociale sans intervention concrète s’enferme dans l’idéologie et le dogmatisme sans être capable d’entraîner ses collègues.

Les structures interprofessionnelles peuvent permettre d’impulser des luttes concrètes sans s’enfermer dans une entreprise spécifique. Néanmoins, les instances interpro regroupent des délégués qui discutent de sujets idéologiques sans prise avec le quotidien. L’action syndicale se confond alors avec l’agitation des partis et des sectes. Au contraire, un point de vue de classe doit permettre d’intervenir dans des implications concrètes pour les travailleuses et les travailleurs. Le regroupement unitaire ne doit pas diluer l’action syndicale dans la posture idéologique.

Par exemple, la mobilisation contre la loi immigration demeure indispensable. Néanmoins, les collectifs unitaires portés par les partis et les sectes adoptent une posture idéologique et morale qui s’enferme dans la marginalité gauchiste. Au contraire, le syndicalisme doit relier ce sujet qui semble éloigné pour montrer en quoi les travailleuses et les travailleurs sont concernés. L’action syndicale ne doit pas se contenter d’une indignation morale mais tisser de la solidarité de classe contre le racisme. L’indépendance syndicale et l’autonomie des luttes doivent permettre d’articuler action concrète et lutte contre le système capitaliste.

 

 

                         

 

 

Origines de SUD-PTT

 

Annick Coupé revient sur la création de SUD PTT. L’administration des Postes et Télécommunication regroupe 500 000 fonctionnaires. Le capitalisme néolibéral des années 1980 débouche vers une réorganisation et une casse des collectifs de travail avec la montée du chômage de masse. Le syndicalisme ne semble pas répondre à ses nouveaux enjeux. Surtout, la gauche au pouvoir depuis 1981 semble avoir domestiqué la contestation syndicale. L’ambiance idéologique est à « la fin de l’Histoire ». 

Le syndicalisme de la CFDT accompagne le bouillonnement des années 1968. Contrairement à la CGT, la CFDT répond aux aspirations autogestionnaires et à l’émergence des mouvements sociaux qui se développent en dehors des entreprises comme les luttes des femmes ou les mouvements écologistes. Néanmoins, à la fin des années 1970, la CFDT abandonne la lutte des classes et le socialisme autogestionnaire. La négociation prime sur la conflictualité entre patrons et salariés.

 

En 1988, de nouvelles pratiques de lutte se développent dans les hôpitaux et à La Poste. La grève des camions jaunes mobilise un personnel mal payé et menacé par la privatisation. La lutte se structure depuis la base à travers des assemblées générales fédérées dans une coordination. Face à l’intransigeance de la direction de la Poste et du Ministère des PTT, la lutte perdure et se durcit. Des centres de tri et des bureaux de poste sont bloqués. Après des négociations, la direction de la CFDT appelle à la reprise du travail sans consulter les grévistes ni la coordination. En revanche, les militants CFDT de la région parisienne soutiennent activement le mouvement. La direction de la CFDT décide d’exclure ses syndicalistes les plus combatifs.

SUD PTT est créé pour perpétuer ce syndicalisme de lutte. En revanche, la CGT apparaît comme un appareil stalinien qui soutient la répression des luttes ouvrières en URSS. SUD PTT parvient à se développer avec les élections professionnelles mais doit faire face à la répression. En 1989, une grève éclate à Lille-Lezennes. Le directeur demande le licenciement de 7 syndicalistes de SUD PTT. La jeune fédération décide de s’ouvrir au-delà de l’entreprise pour interpeller le mouvement social. Un comité de soutien national se lance. Le conseil de discipline ne débouche sur aucun licenciement. Cette lutte contre la répression renforce la nouvelle fédération.

 

 

Il y a 36 ans, 100 000 infirmières en grève défiaient le gouvernement Mitterrand

 

 

Coordinations et luttes dans la Santé

 

Pacal Dias présente les origines de SUD Santé Sociaux. Ce syndicat est issu de la CFDT qui s’oppose à la guerre d’Algérie et participe à la grève de Mai 68. Ce syndicat soutient la révolte de la jeunesse et porte la perspective d’un socialisme autogestionnaire. La lutte des Lip, incarnée par Charles Piaget, illustre la diffusion de pratiques d’auto-organisation et d’action directe. Cependant, la CFDT décide un « recentrage » pour accompagner la gauche au pouvoir.

Durant les années 1980, les syndicats CFDT Santé-Sociaux d’Ile-de-France se regroupent dans un Comité régional de coordination  (CRC). Les assemblées générales permettent de dépasser la passivité et la division syndicale. Cette organisation permet aux salariés de contrôler les revendications, les actions et les négociations. De nombreuses grèves s’appuient sur des AG quotidiennes et des comités d’action pour pallier la frilosité syndicale. C’est dans ce contexte qu’un puissant mouvement d’infirmières éclate en 1988.

 

Un mouvement de grève reconductible s’amorce. Plusieurs AG de la coordination infirmière se tiennent à Paris avec de nombreuses personnes. Le gouvernement Rocard est secoué tandis que les médias dénoncent une manipulation de l’extrême gauche. Mais ce sont bien les infirmières qui décident collectivement. Lorsque le mouvement s'essouffle, les perspectives semblent limitées. Il n’est pas possible de rejoindre une CFDT inféodée au pouvoir.

Au congrès de 1988, le dirigeant de la CFDT Edmond Maire dénonce les syndicalistes qui ont préféré participer à la coordination infirmière plutôt que d’obéir à la fédération. Plus de 4000 adhérents et adhérentes sont exclus mais décident de créer le syndicat CRC : Coordonner rassembler construire – Santé Sociaux. Cette nouvelle structure se développe avec des syndicalistes qui proviennent de la CFDT, mais aussi de la CGT, et surtout avec des personnes non syndiquées. Cette structure devient Sud Santé Sociaux en 2000 dans un secteur de plus de deux millions de salariés dans les hôpitaux publics et privés, les EPHAD, les maternités, le social et le médico-social, avec des dizaines de métiers et de conventions collectives.

 

 

    Annick Coupé, porte-parole de l'Union syndicale Solidaires, le 1er mai 2009.

 

 

Syndicalisme alternatif

 

Une discussion sur la construction de Solidaires revient sur la création de SUD PTT. Annick Coupé indique que les exclus de la CFDT ne veulent pas rejoindre la CGT par méfiance à l’égard d’un fonctionnement trop vertical et autoritaire. Le soutien à Solidarnosc et l’opposition au stalinisme peuvent suffire pour subir une exclusion. Maryse Dumas de la CGT PTT précise que les élections professionnelles de 1989 restent décisives. Les exclus de la CFDT veulent récupérer des mandats syndicaux qui les protègent davantage face à la répression. Annick Coupé précise que SUD PTT refuse également de s’enfermer dans le corporatisme et vise la construction d’une structure interprofessionnelle nouvelle dans une perspective de transformation sociale.

Le syndicat SUD apparaît comme un syndicat jeune et moderne dans les médias. Cette organisation doit renouveler un secteur incarné par une CGT archaïque. Cette concurrence nouvelle est mal perçue par la CGT qui se voit débordée sur sa gauche. Ensuite, les syndicats SUD refusent la subordination du social au politique. L’autonomie du mouvement syndical doit lui permettre d’aborder tous les sujets, y compris en dehors des entreprises. Le projet de société alternative ne doit pas être délégué aux partis et aux sectes mais doit également être porté par le syndicat. Néanmoins, Maryse Dumas indique que les tracts distribués par SUD dans les entreprises sont souvent étriqués et corporatistes. Ils ne développent pas toujours de perspective de transformation sociale.

 

Le mouvement social de 1995 marque une nouvelle dynamique dans la création de nouveaux syndicats SUD, notamment SUD Rail. La CFDT décide de soutenir le gouvernement et son « Plan Juppé ». Au contraire, les cheminots de la CFDT participent à un puissant mouvement de grève qui fait reculer le gouvernement. Les syndicats SUD participent aux nouveaux mouvements sociaux. Ils soutiennent activement les luttes des chômeurs et des sans papiers. En revanche, ce syndicalisme alternatif ne résout pas toutes les difficultés rencontrées par la CGT. Il ne parvient pas à se développer dans le secteur privé, dans les catégories nouvelles du salariat ou avec les précaires.

Solidaires rejoint l’intersyndicale nationale en 2006 avec la lutte contre le CPE. Ce fonctionnement unitaire permet des manifestations massives au cours du mouvement de 2023. Néanmoins, les actions de masse et les grèves ne se développent pas dans les entreprises, sur les lieux de travail et d’exploitation. Ce qui révèle les limites d’un syndicalisme qui se contente de démonstrations d’opinion à travers des manifestations inoffensives.

 

 

    Murielle Guilbert, déléguée générale de l’Union syndicale Solidaires, et Philippe Martinez, secrétaire général de la Confédération générale du travail, en tête du cortège parisien lors de la journée de mobilisation intersyndicale (CGT, FO, FSU, Solidaires et des mouvements de jeunesse) et de grève interprofessionnelle « pour l’augmentation des salaires et la défense du droit de grève », mardi 18 octobre 2022.

 

 

 

Développement syndical

 

Christian Mahieux revient sur la création de SUD Rail en 1996. Ce syndicat est également issu de la CFDT. Il reste attaché à des pratiques d’auto-organisation dans les luttes. Durant la grève de la SNCF de décembre 1986, les cheminots de la CFDT impulsent des assemblées qui décident à la base des revendications, des actions et des occupations. Au cours du mouvement de l’hiver 1995, les cheminots de la CFDT se heurtent à l’hostilité voire à la répression de la part de la direction du syndicat. Les grévistes ne souhaitent pas se tourner vers une CGT sectaire qui cultive encore des méthodes staliniennes. Certains dialoguent avec la CNT, mais cette organisation anarcho-syndicaliste semble plus dans l’idéologie que dans les luttes concrètes. Un nouveau syndicat SUD est créé par des exclus de la CFDT.

Les sociologues Sophie Béroud et Martin Thibault se penchent sur la place de Solidaires dans le champ du syndicalisme. La construction de Solidaires s’inscrit dans un cycle important de luttes sociales dans le sillage du mouvement de 1995. Pendant l’hiver 1997-1998, ce syndicat participe au mouvement de chômeurs, aux mobilisations pour le logement avec le DAL et aux luttes de sans papiers. Solidaires collabore également au lancement d’ATTAC et aux forums sociaux pendant la mode de l’altermondialisme. Ce syndicalisme de lutte s’attache à relier les revendications locales avec les enjeux globaux. Mais ce cycle de lutte s’essouffle dans les années 2000.

 

Solidaires se redéploie dans les murs de l’entreprise pour intervenir davantage dans les dynamiques de lutte dans la sphère du travail. Les mouvements interprofessionnels contre les réformes des retraites en 2003 et en 2010 questionnent la capacité des syndicats à mobiliser les salariés, dans le public comme dans le privé, afin de construire un rapport de force suffisant pour l’emporter. « Pour les militant.es de Solidaires, les enjeux se déplacent ainsi progressivement, partant de l’importance d’être partie prenante de différents réseaux de lutte à la question de leur rôle dans le déclenchement et l’élargissement de mobilisations qui se concentrent essentiellement dans la sphère du travail », observent Sophie Béroud et Martin Thibault.

Solidaires semble incapable d’infléchir le cours du mouvement pour lui donner une coloration plus combative. Solidaires ne semble pas durcir le rapport de force à partir de ses propres luttes et doit donc s’aligner derrière l’intersyndicale. Solidaires semble défendre une stratégie unitaire sans pour autant freiner les initiatives plus radicales. Mais pour exister davantage dans le champ syndical, Solidaires doit élargir ses implantations, notamment dans le privé.

 

 

Une nouvelle journée de mobilisation est prévue le mardi 31 janvier, ont annoncé les syndicats. Photo Sipa/Gabrielle CEZARD

 

 

Limites du syndicalisme de lutte

 

La revue Les Utopiques jette un regard lucide sur Solidaires. Des contributions proviennent de syndicalistes qui ont participé à la construction de cette organisation, mais qui en perçoivent les limites. Maryse Dumas de la CGT égratigne la mythologie du syndicalisme alternatif tandis que des sociologues pointent les limites du développement de Solidaires. La revue Les Utopiques parvient ainsi à développer des analyses à partir des expériences de lutte sans tomber dans la propagande ni dans l’abstraction théorique. Cette revue fournit donc de véritables outils pour penser le syndicalisme et les pratiques de lutte.

La plupart des contributions soulignent bien l’originalité précieuse du syndicalisme de Solidaires, dans la filiation de la CFDT des années 1968. Les SUD portent de nouvelles pratiques de lutte qui reposent sur l’auto-organisation et l’action directe. Ces syndicalistes s’attachent à impulser des coordinations et des assemblées pour permettre des prises de décision avec l’ensemble des salariés. Ce qui tranche avec certaines AG qui ne regroupent que les militants chevronnés. Solidaires s’attache à accompagner les mouvements spontanés et les initiatives qui proviennent des salariés eux-mêmes. Ensuite, Solidaires s’ancre dans un syndicalisme de lutte qui tranche avec le recentrage de la CFDT. La grève et le rapport de force restent indispensables face à un patronat toujours plus inflexible.

Néanmoins, ce syndicalisme radical semble perdre de son originalité et s’institutionnaliser. Des syndicalistes de Solidaires peuvent s’enfermer dans le jeu de la représentativité. Les sociologues pointent un paradoxe majeur du syndicalisme. Les élections professionnelles deviennent indispensables pour obtenir des mandats et du temps pour militer. Mais les réunions de CSE et le dialogue avec le patronat finissent par monopoliser l’activité syndicale. L’inertie et la bureaucratie se propage à Solidaires comme dans les autres syndicats.

 

Ensuite, le syndicalisme semble tiraillé entre une dimension corporatiste et une logique interprofessionnelle. En revanche, la perspective d’impulser des luttes à partir des problèmes concrets du quotidien pour ouvrir des perspectives révolutionnaires reste rare. Un syndicalisme d’entreprise reste englué dans des enjeux corporatistes ou juridiques sans les relier aux enjeux qui traversent l’ensemble des entreprises et le capitalisme. En marge, un syndicalisme interprofessionnel se mêle aux partis et aux sectes pour se contenter de postures idéologiques et d’indignations morales sans prise sur la réalité quotidienne de l’ensemble des exploités.

L'article « Vers un syndicalisme activiste et sociétal ? », publié dans la revue Courant alternatif, rejoint ces constats partagés par beaucoup de militants syndicaux. Néanmoins, il reste à inventer de nouvelles pratiques pour partir des problèmes vécus en leur donnant une dimension plus collective. Développer la conflictualité sociale dans les entreprises permet également de souligner que les intérêts des salariés et de la direction sont opposés. Les grèves, mêmes locales et sectorielles, permettent de diffuser des pratiques de lutte qui doivent se propager. Les soulèvements sociaux doivent également venir percuter les lieux de production pour renverser le monde capitaliste.

 

Source : Revue Les Utopiques, « 25 ans de Solidaires », N°25, Syllepses, 2024

Articles publiés sur le site de la revue Les Utopiques

 

Articles liés :

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Le syndicalisme dans les entreprises

Syndicalisme et bureaucratisation des luttes

 

Pour aller plus loin :

Vidéo : Une histoire de l'Union syndicale Solidaires racontée par une de ses fondatrices, Annick Coupé, diffusée par Les bandes à Philaud le 28 novembre 2019

Vidéo : Les syndicats sont-ils capables de passer en force ? - Simon Duteil, porte-parole de Solidaires, diffusée par Nouvelles Pensées Critiques le 13 juillet 2023

Vidéo : « Les victoires sur les luttes sont le premier débouché politique des mobilisations sociales », diffusée sur le site du magazine Regards le 3 mai 2022

Vidéo : Grève : l'émergence du syndicat SUD, diffusée par l'INA

Vidéo : Christian Mahieux : syndicaliste ou christ chez Thierry Ardisson, diffusée par INA Arditube le 22 février 2022

Vidéo : Décembre 1995, des retraites à la désertification des territoires, l'enjeu des services publics, diffusée par le Centre d'Histoire Sociale le 30 juin 2021

Vidéo : Sophie Béroud, Est-ce la fin du syndicalisme ?, conférence diffusée par Le Vent Se Lève le 16 avril 2018

Vidéo : Sophie Béroud, Forces et faiblesses du syndicalisme, conférence diffusée par la Fondation Gabriel Péri le 9 décembre 2021

 

Dominique Sureau (UCL Angers), Lire Les Utopiques n°25 : 25 ans, cela se fête !, publié dans le journal Alternative libertaire n°351 de juillet-août 2024

Murielle Guilbert et Julie Ferrua, Indépendance mais pas indifférence, publié sur le site de Cerises la coopérative le 6 septembre 2024

Murielle Guilbert, « Amplifier la présence syndicale sur le terrain nous paraît être clé », publié dans la revue L’Anticapitaliste n°160 en octobre 2024

Simon Duteil (Solidaires) : « Ce qui déstabilisera, c’est la massification », publié sur le site de la revue Ballast le 30 mars 2023

Articles de Simon Duteil publiés sur le site de la revue Les Utopiques

Le blog de Simon Duteil, publié dans Le Club de Mediapart

Annick Coupé : « Le syndicalisme est un outil irremplaçable », publié sur le site de la revue Ballast le 28 juillet 2018

Annick Coupé, Combats syndicaux et luttes politiques : quelles articulations ?, publié dans la Revue internationale et stratégique n° 93 le 2014

Articles d'Annick Coupé publiés sur le site de la revue Contretemps

RP santé CHU de Bordeaux, Il y a 36 ans, 100 000 infirmières en grève défiaient le gouvernement Mitterrand, publié sur le site Révolution Permanente le 12 octobre 2024

Guillaume Davranche, MAHIEUX Christian [Dictionnaire des anarchistes], publié sur le site du Maitron le 23 avril 2014

Christian Mahieux, Syndicalisme, classes sociales et oppressions spécifiques, publié dans la revue Mouvements n°100 en 2019

Articles de Christian Mahieux publiés sur le site de la revue Les Utopiques

Articles de Christian Mahieux publiés sur le site Presse-toi à gauche !

Louis Blème, Syndicalisme : une résurrection envisageable ? – Entretien avec Sophie Béroud, publié sur le site Le Vent Se Lève le 26 avril 2020

Articles de Sophie Béroud publiés sur le site de la revue Contretemps

Publié dans #Actualité et luttes

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