Révolte ouvrière à l'usine de PSA-Aulnay

Publié le 9 Décembre 2013

Révolte ouvrière à l'usine de PSA-Aulnay

La lutte des travailleurs de PSA-Aulnay permet de rappeler l’existence du monde ouvrier et de la lutte des classes dans la France du XXIème siècle.

 

Pour les journalistes et les sociologues, la lutte des classes à disparu. Les ouvriers sont considérés comme une poignée de beaufs anachroniques qui votent pour les partis populistes et l’extrême droite. L’austérité et le capitalisme sont considérés comme une fatalité à laquelle il faut s’adapter. La révolte ouvrière à PSA-Aulnay balaye tous ses préjugés. Les ouvriers existent toujours, et en plus ils luttent.

Sylvain Pattieu propose un récit en immersion dans une usine qui lutte et qui vit. Ce jeune historien semble proche des idées marxistes. Il a notamment étudié les relations entre trotskystes et libertaires pour lutter contre le colonialisme. Il se plonge désormais dans le monde ouvrier, nourrit par son histoire, pour recueillir des témoignages dans une usine en lutte.

Le monde ouvrier est liquidé depuis 1979, avec la sidérurgie lorraine. Les travailleurs sont désormais réduits au rang de victimes des licenciements. « On a oublié le temps de la classe ouvrière, quand les ouvriers étaient forts, quand ils faisaient peur », rappelle Sylvain Pattieu. La mémoire des révoltes historiques s’effondre. Même la conscience de classe, avec ses organisations de lutte, semble disparaître. « Qu’est-ce qui fait classe ? Qu’est-ce qui permet d’unir le multiple, le divers, de faire politique, de faire commun ? C’est tout un travail. Rien d’objectif, là-dedans, tout de construction. Des organisations, des porte-parole, des actions, des mouvements sociaux, des utopies, des rêves, des discours », souligne Sylvain Pattieu. Son récit permet de relier la grande histoire avec le vécu et la vie quotidienne des ouvriers en lutte d’aujourd’hui.

 

 

                        Avant De Disparaître - Chronique De Psa-Aulnay de Sylvain Pattieu

 

L’oppression de la vie ouvrière

La fermeture de l’usine de PSA-Aulnay est annoncée le 12 juillet 2012. L’usine de Peugeot-Citroën fabrique des voitures. Mais les ouvriers décrivent bien la dureté des conditions de travail. « C’est dur comme métier, c’est dur de fabriquer une voiture. J’ai attrapé des allergies, de l’asthme, j’avais pas tout ça avant d’entrer à l’usine. J’ai une tendinite. J’ai des fissures aux jambes », témoigne Kamel. Les travailleurs décrivent l’odeur de la peinture, la pollution, le bruit. Certains reviennent sur leurs parcours. Issus de familles ouvrières ou paysannes, ils éprouvent des difficultés à l’école et commencent alors à travailler à l’usine.

Ghislaine, appelée Gigi, décrit le mépris et la misogynie des cadres par rapport aux ouvrières. En revanche, les autres ouvriers ne se considèrent pas supérieurs à une femme et apprécient de la côtoyer.

Christophe évoque la violence des rapports humains avec les chefs qui n’hésitent pas à briser son amour avec une de ses collègues. La rentabilité de l’usine prime sur le plaisir et sur la vie. « J’ai arrêté pas mal de passions, depuis que je suis à PSA. J’ai moins le temps. La fatigue », regrette Christophe.

 

Christophe apparaît comme l’ouvrier modèle. Attaché à son travail et isolé, il se débrouille seul en cas de problème. Il découvre les syndicalistes et les grévistes mais se méfie des pratiques jugées trop radicales. « Je cautionne pas tout. Ceux qui retournent des caisses au ferrage, ceux qui balancent des vis dans la ligne, ceux qui vident les extincteurs, ça ne me plaît pas. Il ne faut pas casser », témoigne Christophe. Le sabotage et le refus du travail apparaissent comme des pratiques ouvrières qui appartiennent à une histoire oubliée. Mais la résignation et le fatalisme peuvent se transformer en révolte. Face à la brutalité du patronat et du capitalisme, la violence semble devenir la seule solution. « Ils sont en train de me faire devenir révolutionnaire. Il faudrait un nouveau Mai 68 pour faire bouger les choses », tranche Christophe.

 

 

Une histoire de luttes

L’usine de PSA-Aulnay ouvre en 1973. Elle se situe en dehors de Paris. Les immigrés sont embauchés car ils sont considérés comme bien dociles. Le patronat leur donne des consignes auxquelles ils doivent se soumettre. L’interprète qui les reçoit leur conseille d’obéir et de se tenir tranquille. « Ils viennent dans son bureau, il leur explique comment faire, comment être. Il leur qu’il faut raconter au chef, s’ils voient des choses », décrit Sylvain Pattieu. Mais ses ouvriers de Citroën ne vont pas rester dociles très longtemps.

Des grosses luttes éclatent en 1982, en 1984 et 2007. Mais, après Billancourt, ce symbole de la contestation ouvrière doit disparaître. « Mines tristes. Révolte, colère, surtout. Sentiment d’être floué. On leur avait dit un gros site, une grosse entreprise, vous pourrez évoluer, on a besoin de vous », décrit Sylvain Pattieu.

 

M’Barek a connu les luttes à Aulnay en 1982 et en 1984, avec les belles promesses de la gauche déjà au pouvoir. « La révolte des OS, de ceux qui devaient obéir, recrutés pour fermer leur gueule », décrit Sylvain Pattieu. Une grève totale est décidée, avec piquets devant la porte et blocage de la production. Les ouvriers refusent de vivre dans la soumission et l’humiliation permanente. « L’usine d’Aulnay, c’est l’usine de la peur. Le système de répression Citroën, c’est fini. Les barrières entre les travailleurs, c’est fini. Fini le quadrillage de l’usine. Fini la hiérarchie parallèle. Fini le pastis au chef. Fini la médecine maison. Nous voulons être respectés », proclame le Manifeste des OS d’Aulnay.

 

Mais la lutte ouvrière devient vite ringardisée. L’isolement et l’atomisation des travailleurs prédominent. « Après il y a eu la crise, le chômage, les plans sociaux, la fin des utopies, la fin des idéologies, la fin des classes sociales. Du moins c’est-ce qu’on a dit, pendant quelques années », décrit Sylvain Pattieu. Le mouvement de 1995 ravive un esprit de contestation. Le gouvernement doit céder face à la rue, face à la grève. En 2006, la révolte contre le CPE permet également de faire reculer le pouvoir.

Dans l’histoire de France, le mouvement de 1936 incarne la révolte ouvrière. « Il faut ces images, ces ouvriers qui occupent leur usine en dansant, ces poings levés, ces regards fermes et joyeux », décrit Sylvain Pattieu. L’histoire des luttes ouvriers et de révolte festive permet de sortir de la résignation et de la répression. 

Au début du XXème siècle, les révoltes ouvrières sont réprimées violemment. L’armée tire sur les manifestants. Seule une minorité de travailleurs semble déterminée à lutter. Les anarchistes et les syndicalistes révolutionnaires sont alors rapidement réprimés.

Les anarchistes de la fin du XIXème siècle utilisent la violence et la dynamite. Ravachol et Caserio n’hésitent pas à tuer. Le syndicalisme de la CGT est issu de cette révolte anarchiste. Les émeutes sont nombreuses au début du XXème siècle. Aujourd’hui, les ouvriers ne s’inscrivent plus dans une perspective révolutionnaire. « Ils ont bien peu à voir, ceux des années 1890 et ceux des années 2009. Il n’y a pas l’enthousiasme et la certitude que la société va changer », souligne Sylvain Pattieu. Pourtant, la révolte contre l’oppression marchande et la colère ouvrière existent toujours. « Et pourtant, il est toujours question de refuser ce monde, de refuser l’injustice, de refuser la misère », tranche Sylvain Pattieu.

 

Dans les années 1968 la classe ouvrière incarne la révolte. Le prolétariat demeure le sujet révolutionnaire qui doit balayer la mascarade marchande. Le film sur la reprise du travail à l’usine Wonder de Saint-Ouen montre une jeune ouvrière qui exprime sa colère. Contre les bureaucrates syndicalistes, elle refuse la vie de l’usine et désire une grève illimitée. « Non, moi je rentrerai pas, je rentrerai pas là-dedans, je mettrai plus les pieds dans cette taule », lance la belle ouvrière.

En 1978, la sidérurgie lorraine doit être liquidée. Mais une révolte ouvrière éclate. Les travailleurs débordent le carcan syndical et expriment une radicalité, certes teintée de désespoir. « Manifestations monstres, unitaires. Puis opérations coups de poings, barrages, sabotages, séquestrations, mises à sac, affrontements, ça change du syndicalisme traditionnel. Parce qu’il n’y a plus rien a perdre, parce ce qu’il n’y a pas de compromis, rien à négocier, du côté des dirigeants », décrit Sylvain Pattieu.

Le 23 mars 1979, 100 000 sidérurgistes montent à Paris. Les autonomes rejoignent le cortège. Des vitrines sont cassées et la manifestation tourne en émeute. La CGT s’exprime également sur les ondes, avec Radio Lorraine Cœur d’Acier.

 

 

             

 

La lutte ouvrière aujourd’hui

A Aulnay, une grève éclate en 2007. La lutte échoue, mais les jeunes ouvriers s’enthousiasment pour cette première expérience de contestation. « On fait grève six semaines. On obtient rien. Mais les jeunes étaient entrés dans la grève. Ils étaient peu attirés par les syndicats, mais l’idée de grève, de lutte collective, ça leur plaisait », témoigne Philippe. Mais, après ce mouvement, le retour à la normale s’impose et les ouvriers ne s’intéressent pas davantage à la politique.

Les ouvriers multiplient les actions. Ils organisent des actions politiques comme des manifestations et une perturbation du salon de l’automobile. Ils préparent également des actions secrètes qui nécessitent moins de monde pour surprendre la vigilance des CRS. A l’issue d’une grande manifestation, le 8 novembre 2012 à Bobigny, les syndicalistes prennent la parole mais ne sont pas toujours écoutés religieusement. « Mais tais-toi, bon sang, tu comprends pas ? Sud, ferme ta gueule, vous respectez pas les décisions collectives », lancent des ouvriers à l’encontre d’un bureaucrate de Solidaires.

 

Les ouvriers de PSA ne reprennent pas les mots d’ordre gauchistes. Ils ne veulent pas l’interdiction des licenciements exigée par la petite bourgeoisie qui dirige l’extrême gauche du capital. L’autogestion et l’auto exploitation ne font pas davantage rêver.

Les ouvriers ne veulent pas forcément continuer à travailler dans l’usine. « Travailler à la chaîne c’est pas la meilleure chose à faire. Mon travail me permet de vivre, mais c’est pas le top. C’est pas mon idéal. J’ai mal aux jambes, j’ai des varices, tout le temps debout », témoigne Fred. Mais les ouvriers luttent pour des indemnités de licenciements importantes. Ils luttent pour faire payer PSA.

Les ouvriers ne se réduisent pas à leur statut, à leur travail, à leur rôle social. « Il y a une richesse, dans cette usine, on n’imagine pas. Il y a des artistes, des gens qui font de la musique, des peintres », souligne Gigi une déléguée syndicale. Les ouvriers aspirent à une vie plus passionnante que celle du travail à la chaîne.

 

Même si les exploités ne supportent plus le monde marchand, passer à la révolte ne semble pas l’attitude la plus répandue. « C’est jamais sûr que ça marche, même quand il y a la colère. Parce que les autres sentiments s’y mêlent, la résignation, la lassitude, le dégoût. On peut en avoir marre, rester solitaire, passif », souligne Sylvain Pattieu. La société marchande favorise l’atomisation et la séparation des individus. Chacun reste dans la routine de son mode de vie. « Il y a les sentiments et il y a pire, il y a l’argent. Le compte en banque bloqué. Le crédit. Avoir de quoi faire garder le petit », poursuit Sylvain Pattieu.

L’Assemblée Générale permet aux grévistes d’organiser la lutte, soutenue par les syndicats. Le deuxième jour de grève, une ambiance nouvelle se développe dans l’usine. Loin de la vie rythmée par le travail, la musique, les chants, la danse et les rigolades créent un climat de fête. Au début, la grève semble minoritaire. Les ouvriers ne veulent pas perdre plusieurs jours de salaires, surtout les intérimaires. Mais, une caisse de grève s’organise. Finalement, l’usine est bloquée et le travail s’arrête.

 

Peugeot n’entend rien céder dans ce bras de fer. Ils sont influents au Medef, à travers l’UIMM. Ils incarnent la stratégie du patronat en France, soutenu par le gouvernement. Peugeot propose même aux ouvriers de Sochaux de venir travailler à Aulnay pour remplacer les grévistes. Mais la solidarité de classe existe toujours. Peugeot organise ensuite un lock-out. L’usine est fermée pour briser la grève et revenir à la séparation entre les individus. « Il faut empêcher autant que possible les regroupements, les cohésions possibles entre ceux du matin et ceux du soir. Il faut éviter que ça prenne, il faut que la grève reste minoritaire », décrit Sylvain Pattieu.

L’extrême droite et les médias n’hésitent pas à dénoncer les casseurs. Les jeunes ouvriers sont assimilés aux émeutiers de banlieues. Toute forme de révolte devient alors stigmatisée et criminalisée.

 

 

     2013-03-08T125529Z_1_APAE9270ZWK00_RTROPTP_3_OFRTP-FRANCE-G.JPG

 

Des luttes ouvrières à la révolution sociale

Jean-Pierre Mercier, dirigeant de la CGT Aulnay, est également militant à Lutte ouvrière (LO). Cette organisation trotskyste se contente aujourd’hui de s’implanter dans les usines à travers un syndicalisme d’accompagnement. Comme l’extrême gauche du capital, LO revendique une interdiction des licenciements. Heureusement, ce sont les grévistes qui dirigent eux-mêmes la lutte. Ils préfèrent des indemnisations plutôt que de finir leur vie à l’usine. Le marxisme poussiéreux de LO aspire à aménager le capitalisme, plutôt qu'à le supprimer.

Mais, en 1947, trotskystes et libertaires ont participé à une grève historique à Renault Billancourt. Les ouvriers luttent au départ pour une augmentation de salaires, mais le mouvement s’embrase. « La grève se répand, tout Billancourt, la métallurgie, EDF-GDF, la SNCF, les mines, tout au long de l’année 1947. Un mouvement dur, violent, insurrectionnel », décrit Sylvain Pattieu. Seule une répression féroce permet d’abattre le mouvement. Aujourd’hui, le contexte a changé. Le monde ouvrier, et surtout les organisations qui l’encadrent, ne portent plus aucune perspective révolutionnaire. LO se contente de pleurnicher pour aménager l’exploitation capitaliste. « Les réformistes, au pouvoir, ne font plus de réformes. Les révolutionnaires, eux, font du syndicalisme. On fait ce qu’on veut avec l’époque où on vit », se résigne Sylvain Pattieu.

Les grévistes sont peu nombreux, moins de mille salariés. Le mouvement semble donc minoritaire à PSA, mais aussi en France. « C’est nous l’exception, en ce moment, la tendance c’est plutôt de subir, pas de se battre. On est à contre-courant », résume un ouvrier. Certes, d’autres travailleurs luttent contre les licenciements. Mais la seule perspective réside dans un mouvement global, avec tous les exploités dans la lutte. Les luttes locales isolées semblent vouées à l’échec. Mais elles peuvent aussi impulser des mouvements d’ampleur. « Pour le moment, on a peu de perspectives. Espérons que notre grève en annonce d’autres. Espérons que ce soit une hirondelle », analyse un ouvrier.

 

Le livre de Sylvain Pattieu ne propose pas véritablement une analyse critique de la lutte à PSA Aulnay. En revanche, il insiste sur l’importance de l’histoire du mouvement ouvrier en France. Surtout, il s’attache à recueillir des témoignages pour donner la parole aux ouvriers eux-mêmes. C’est évidemment plus intéressant que d’interroger les représentants des partis et des syndicats.

Ce livre révèle les contradictions du monde ouvrier. Malgré une histoire de luttes, alimentée par des utopies révolutionnaires, les ouvriers semblent se réduire à une posture défensive. Ils ne luttent pas pour la révolution sociale, mais contre les licenciements. Les travailleurs ne se reconnaissent pas dans les mots d’ordre gauchistes comme l’interdiction des licenciements ou l’autogestion qui ne font que perpétuer l’exploitation même sous d’autres formes. Ils luttent pour sortir de l’usine avec des indemnités importantes. Ils ne regrettent pas le travail à la chaîne et critiquent l’horreur de l’usine.

Cette lutte demeure locale. Pourtant, la grève permet de rompre avec la routine et l'atomisation au quotidien. Des rencontres et des émotions construisent une nouvelle communauté de lutte. Des groupes révolutionnaires s'appuient sur la grève des ouvriers d'Aulnay pour remettre la lutte des classes au coeur de la transfomation sociale. Par exemple Bad Kids, ou encore La Mouette Enragée, évoquent cette lutte pour penser une organisation des exploités en dehors des appareils syndicalistes ou politiciens. 

En revanche, les ouvriers adoptent uniquement une position défensive. Ils ne s’inscrivent plus dans la perspective d’une coordination des luttes et de la construction d’un mouvement d’ampleur pour balayer le capitalisme. Pourtant, la lutte à PSA-Aulnay pourrait devenir un point d’ancrage pour tous les exploités, salariés, chômeurs, précaires qui désirent renverser le monde marchand. Une grève, même locale, permet de briser la routine du quotidien pour diffuser le plaisir de la révolte. 

 

Source : Sylvain Pattieu, Avant de disparaître. Chronique de PSA-Aulnay, Plein Jour, 2013

 

Articles liés :

Daniel Guérin et le mouvement de 1936

Histoire du syndicalisme d'action directe

Combattre l'austérité en Grèce et en Europe

Guerre de classe et illégalisme en Amérique

Refus du travail, paresse et oisiveté

L'opéraïsme dans l'Italie des années 1960

 

Pour aller plus loin : 

Revue de presse du livre de Sylvain Pattieu sur le site des éditions Plein Jour

Vidéo : Sylvain Pattieu : "J'en est tellement à raconter sur PSA-Aulnay", entretien avec Rachida El Azzaoui publié par Mediapart, publié sur le site de Démocratie réelle à Nîmes maintenant

Vidéo : « Quand on gueule, on est des fous ! », un ouvrier revient sur la lutte à PSA Aulnay, publié sur le site Paris-luttes le 18 mars 2014

Radio Vosstanie : discussion avec La Mouette Enragée autour de la période en général et sur les suites de la lutte des ouvriers et des ouvrières de PSA Aulnay en particulier, diffusée le 25 mai 2013

"Paroles de grévistes ! Les ouvriers de PSA au CSA", débat organisé par le journal Bad Kids le 11 mai 2013

Radio : émission sur la lutte de 

Radio : "PSA 3 : la grève", émission les Pieds sur terre diffusée sur France Culture le 26 février 2013

Site de la CGT PSA Aulnay

Entretien avec Vincent Gay réalisé par Fanny Doumayrou, 1973, Citroën rêve d’une usine sans CGT à Aulnay, publié dans le journal L'Humanité le 16 octobre 2013

Préparer la sortie de l'abîme : Modestes suggestions aux travailleurs de l'usine PSA Aulnay, Communiqué 5 publié sur le site du Garap (Groupe d'Action pour la Recomposition de l'Autonomie Prolétarienneen février 2012

Publié dans #Actualité et luttes

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article