Le roman populaire du XIXe siècle
Publié le 11 Août 2022
Les histoires des romans Les Trois Mousquetaires et Les Misérables sont rentrées dans l’imaginaire collectif. Ces récits populaires ne sont pas toujours lus. Mais leurs nombreuses adaptations sur écran permettent à un grand nombre de personnes de les connaître. Même Don Quichotte n’est pas devenu aussi populaire, en raison d’une image négative. Il incarne l’idéalisme qui prouve le bien fondé de la résignation et désamorce la révolte. Au contraire, les Mousquetaires et les Misérables semblent guider vers l’insurrection. Les tenants de l’ordre et les gestionnaires ne cessent de mépriser ces deux romans. Flaubert reste davantage valorisé par les classes moyennes supérieures. Ce rentier de province ne cesse de fuir les agitations révolutionnaires.
La Révolution française fait du peuple un véritable acteur de l’Histoire. L’égalité en droit est proclamée. L'illettré a autant le droit à la parole que l’érudit. Mais l’Empire puis la Restauration remettent en place les vieilles hiérarchies féodales. Pourtant, le XIXe siècle reste rythmé par de nombreuses insurrections. L’espérance resurgit à plusieurs reprises, avant d’être à chaque fois écrasée. Le peuple est marqué par ces nombreuses révolutions trahies. Dumas et Hugo sont les seuls écrivains qui ont accompagné ces résurgences de la Révolution française. Ils ont pris au sérieux cette exigence d’un monde nouveau. Leurs histoires glorifient l’esprit des barricades. Elles font revivre les sentiments de ces révoltes collectives. La journaliste Évelyne Pieiller explore ces récits dans son livre Mousquetaires et Misérables.
Imaginaire des barricades
Le romantisme est souvent réduit à une esthétique et à un idéalisme d’adolescent. Pourtant, ce mouvement littéraire capte le souffle de son époque secouée par les révolutions du XIXe siècle. Le romantisme reste porté par l’espoir d’un monde nouveau. « L’essentiel, c’est quand les tensions deviennent le matériau des rêves, quand les avenirs empêchés deviennent des mondes à explorer. Alors s’inventent les pratiques du romantisme, ses modèles, ses hantises, ses paysages », observe Évelyne Pieiller. L’époque est également marquée par les conspirations et les sociétés secrètes. En Italie, les carbonari veulent renverser l’absolutisme. En France, la charbonnerie prépare également l’insurrection. Ces organisations font toujours l’objet de mystères et de fantasmes romanesques.
Dumas est le fils d’un ancien esclave devenu général d’Empire. Mais, il quitte l’armée en 1902. Napoléon rétablit l’esclavage. Le père de Dumas ressent alors un sentiment de trahison. Cette trajectoire romanesque inspire le fils qui rend hommage à un homme trahi par celui qu’il pensait être un libérateur. « Et c’est précisément ce qui fera la matière de ses histoires : dressé contre la suavement sale trahison, la fraternité des causes héroïques perdues », indique Évelyne Pieiller.
Les soulèvements révolutionnaires sont également marqués par les trahisons. En 1830, un soulèvement renverse la monarchie de Charles X. Mais, tandis que la jeunesse dresse des barricades, l’opposition parlementaire se compose surtout de notables. Ils instaurent une monarchie constitutionnelle dirigée par Louis-Philippe, le « monarque citoyen ». Ce régime se veut tempéré, mais plus libéral que celui de Charles X. Il permet surtout à la bourgeoisie d’éviter les dangers révolutionnaires.
En 1832, au cours de l’enterrement du général Lamarque, un défilé républicain dresse le drapeau rouge. Les dragons chargent et la foule réplique avec des pierres. Une barricade est dressée dans la rue Saint-Merri. Une soixantaine de jeunes hommes lancent une insurrection pour affronter le pouvoir. Mais le peuple parisien ne les suit pas. Cette révolte incarne la beauté de l’héroïsme sans espoir.
Malgré son écrasement rapide, la barricade de Saint-Merri rentre dans la légende. « Les jeunes morts de Saint-Merri commencent à transformer l’histoire en légende, l’échec collectif en fraternité de héros abandonnés par ceux-là même pour qui ils se battent », décrit Évelyne Pieiller. Dans la littérature, la barricade de Saint-Merri devient un véritable mythe. Même le conservateur Balzac l’évoque. Dans Les Misérables, le jeune Gavroche meurt sur la barricade de Saint-Merri.
Le début des années 1830 est marqué par l’échec des insurrections. En 1831, la révolte des Canuts lyonnais est écrasée. Après 1832, une nouvelle insurrection éclate à Paris en 1834. Mais elle échoue également. Les conspirations se multiplient. Mais sans grand succès. Barbès, Blanqui et Cavaillac incarnent ces sociétés secrètes qui tentent de renverser le pouvoir par les armes. Eugène Sue connaît le succès avec le feuilleton Les Mystères de Paris. Son héros justicier et vengeur s’inspire de Barbès.
Mousquetaires
Les Trois Mousquetaires respire l’esprit révolutionnaire qui incarne la France à travers le monde. Même si le récit se déroule sous Louis XIII. Ce roman évoque le panache de la révolte. « Les Trois Mousquetaires ne représentent pas "le peuple" mais ce qui l’anime quand il se soulève, la force de désobéissance devant la règle du puissant, le parti pris de l’idéal contre l'accueil de la résignation », souligne Evelyne Pieiller. Les mousquetaires se battent contre des sbires qui incarnent l’arbitraire de l’autorité. Ils semblent lancer une émeute, à quatre.
Le sens du collectif et l’espoir révolutionnaire disparaissent. Mais Dumas transpose l’enthousiasme à défaire l’ennemi. Les Trois Mousquetaires évoque l’esprit de 1830, avec ses sociétés secrètes et ses bagarres insurrectionnelles. « Des complots, du panache, de la solitude surmontée, la gaîté du risque pris pour bafouer l’autorité », indique Évelyne Pieiller. Cet élan permet de s’identifier à ceux qui se sont battus dans les révoltes des années 1830.
Les quatre cavaliers n’incarnent pas le peuple souffrant et ne revendiquent pas la justice sociale. Mais ils transgressent les valeurs bourgeoises. Ce ne sont pas des modèles de moralité. Mais ils incarnent la victoire des causes perdues. « Il s’aime mousquetaire, le peuple, c’est-à-dire incorrect, armé, audacieux, débrouillard, et peu porté sur les valeurs bourgeoises », souligne Évelyne Pieiller. Les mousquetaires incarnent la force de la bande organisée, dans les sociétés secrètes ou les manifestations. Le Comte de Monte-Cristo incarne la vengeance face aux trahisons de l’aristocratie. Ce roman semble plus sombre et pessimiste. Il fait le deuil de l’espérance collective.
Le XIXe siècle est marqué par le surgissement de la question sociale. La classe ouvrière se développe et subit des conditions de travail particulièrement dures. Entre 1830 et 1847, de nombreuses grèves éclatent. Elles subissent une répression brutale. La grève reste encore interdite et les ouvriers qui se révoltent finissent en prison.
Les débuts du mouvement ouvrier s’accompagnent d’un bouillonnement intellectuel. Proudhon polémique avec Dumas. Le romancier estime que le souffle épique de la littérature accompagne les révolutions. Au contraire, le théoricien anarchiste considère que les ouvriers n’ont pas besoin des intellectuels et des romanciers pour se révolter. Ils réfléchissent et agissent par eux-mêmes.
Le socialisme utopique participe également à ce nouvel imaginaire révolutionnaire. Saint-Simon veut liquider une élite oisive et parasite pour inventer une nouvelle organisation du travail. Fourier propose une utopie qui repose sur les désirs et les attractions passionnelles. Les communautés alternatives et les coopératives émergent.
Révoltes sociales
En 1848, un banquet républicain est interdit. Cet espace permet d’exprimer des discours politiques. Les étudiants et ouvriers protestent et demandent la démission de François Guizot, Le chef du gouvernement quitte le pouvoir. La rue fête la victoire. Mais la troupe tire et fait une cinquantaine de morts. Des barricades se montent. Louis-Philippe abdique. Lamartine participe au gouvernement provisoire qui proclame la République. Cet écrivain est longtemps apparu comme un tiède député. Mais, en 1847, il publie une Histoire des Girondins qui célèbre la Révolution française. Ce livre connaît un succès qui incarne le bouillonnement contestataire de la période.
La question sociale devient au centre de cette jeune République. Louis Blanc lance des ateliers nationaux. L’Etat fait travailler des chômeurs pour les payer, mais aussi pour les occuper et les contrôler. Le peuple, associé à la canaille, doit surtout être moralisé par le travail. Mais la fermeture des ateliers nationaux provoque de nouveaux soulèvements. Le général Cavaillac réprime l’insurrection avec 4000 à 5000 morts. La République s’achève dans un bain de sang. Louis Bonaparte est élu président. Il dissout l’Assemblée et fait son coup d’Etat.
Hugo s’exile et ne cesse de dénoncer le nouveau régime. Ce moment est perçu comme le summum de son engagement politique. Pourtant l’écrivain n’évoque jamais la répression des insurrections par le régime républicain. Balzac et Flaubert se tiennent à distance de la contestation sociale. Dumas finit également par défendre la République bourgeoise contre la perspective d’une République sociale. Musset soutient la répression. George Sand ne cesse d’écrire dans les journaux socialistes et prétend éduquer le peuple. Mais elle s’inquiète dès que la révolte prend de l’ampleur et que le peuple entend s’organiser par lui-même. « En avant pour les niaiseries édifiantes, à peu près aussi exaltante que la littérature à message et vicieusement tendre pour l’ordre en place », ironise Évelyne Pieiller. Lamartine se range également derrière la répression.
Hugo choque la bonne bourgeoisie avec Les Misérables. Ce roman est décrié comme vulgaire. Il s’adresse au grand public, et non à une petite élite intellectuelle. Surtout, ses personnages incarnent le bas peuple avec un ancien forçat, un enfant des rues et une prostituée. Mais le personnage principal, le cœur du livre, ce sont les barricades. « C’est le courant de ceux qui les font, les défendent et y meurent. Dans Les Misérables, tout conduit vers elles. Les histoires d’amour et les errements dans Paris. Les quêtes individuelles et les rencontres de hasard. Le monde est sur les barricades », souligne Évelyne Pieiller.
Le peuple n’a pas lu de près Les Misérables. Mais les grands thèmes du roman s’imprègnent dans la mémoire collective. C’est l’enjeu du combat entre les puissants et les misérables. C’est l’histoire des défaites et des insurrections perdues, mais à recommencer pour permettre d’ouvrir de nouveaux possibles.
Révoltes individuelles
Baudelaire reste un des rares artistes à soutenir la révolution de 1848. Mais il le fait avec détermination. Proche des idées anarchistes de Proudhon, il revendique une insurrection socialiste. Même si Baudelaire il n’écrit pas pour le peuple. Néanmoins, il exprime son dégoût pour ceux qui prétendent le représenter et pour la bourgeoisie. « Toute la racaille moderne me fait horreur, vos académiciens, horreur, vos libéraux, horreur, le style coulant, horreur », lance Baudelaire en 1866.
Il se méfie également de l’embrigadement de la littérature au service de la propagande militante, comme le propose Proudhon et les socialistes utopiques. Baudelaire rejette autant la morale bourgeoise que la morale socialiste. Mais il attaque les codes et les valeurs en place. « Baudelaire n’écrira pas pour le peuple. Il écrira au nom des déclassés, qui sont fauteurs de trouble par leur existence même. Le combat à mener, c’est affirmer l’inversion des hiérarchies », indique Évelyne Pieiller.
Arsène Lupin apparaît comme l’ultime héros populaire. Pourtant, le britannique Sherlock Holmes semble longtemps bénéficier de plus de notoriété. Mais le détective n’apparaît pas comme un héros populaire. Il adopte une posture davantage aristocratique. Surtout, il se met au service de l’ordre et de la police. Au contraire, Lupin est un criminel qui défie les lois. Il semble issu de la mouvance des anarchistes illégalistes de la fin du XIXe siècle. C’est l’époque des grandes grèves et des bombes posées par les anarchistes.
Durant cette période, les anarchistes sont jugés devant les tribunaux. Ils font de leur procès une tribune pour attaquer l’ordre capitaliste. « Je n’approuve et n’ai usé du vol que comme moyen de révolte propre à combattre le plus inique de tous les vols : la propriété individuelle », déclare Marius Jacob. Au cours de ses cambriolages, il laisse des cartes signées « Atilla ». Il vole pour gagner de quoi survivre et reverse le reste aux mouvements anarchistes. « Plutôt que d’être cloîtré dans une usine comme dans un bagne, plutôt que de mendier ce à quoi j’avais droit, j’ai préféré m’insurger et combattre pied à pied mes ennemis, en faisant la guerre aux riches », lance Marius Jacob.
Maurice Leblanc crée Arsène Lupin en 1905. Il prétend que son personnage n’est pas inspiré de Jacob. Mais le « gentleman cambrioleur » respire la flamboyance libertaire. Néanmoins, il semble éloigné de l’anarchisme révolutionnaire. « Lupin se satisfait d’être le cauchemar des riches et des représentants de l’ordre. Sans violence et facétieux », observe Evelyne Pieiller. Ces aventures fantasques remplacent les barricades par les souricières et les camarades par les complices. Arsène ignore la question sociale et se contente de détester les puissants. « Pourtant, c’est Lupin qui devient notre voleur national, qui porte un souffle de fronde, et si le peuple sur fond de répression se met à l’aimer comme un des siens, c’est qu’il a pour lui deux armes : le courage et le mauvais esprit », souligne Évelyne Pieiller.
Lupin concilie l'insolence de Gavroche et le panache de d’Artagnan. Dans l’imaginaire populaire, il s’inscrit dans la filiation des romans de Dumas ou Hugo. « Mais il n’y a là d’autre horizon que ridiculiser les piliers de l’ordre, en leur opposant le bon mot et le beau geste », observe Evelyne Pieiller. Cette perspective semble plus ludique et moins insurrectionnelle. La dimension collective de la révolte disparaît au profit de l’exploit individuel. Même si Lupin apparaît comme un prolétaire qui tient tête aux puissants. « Une ultime représentation de la menace des bas-fonds, dansante, légère, inoffensive mais vivifiante – où les étincelles cachent le crépuscule de l’espérance collective, tout en ravivant la fierté d’être… la canaille », analyse Évelyne Pieiller.
Littérature et imaginaire révolutionnaire
Évelyne Pieiller jette un nouveau regard sur cette littérature populaire du XIXe siècle. Ces romans sont entrés dans un imaginaire collectif, mais leur dimension insurrectionnelle a été édulcorée voire gommée. Pour leur redonner tout leur tranchant, Evelyne Pieiller décide de reconstituer le contexte historique de ces romans. La littérature baigne dans une période rythmée par les révoltes, dans un Paris qui voit régulièrement se dresser des barricades. Si la dimension sociale des Misérables semble évidente, la lecture insurrectionnelle du roman populaire a été édulcorée, autant par les adaptations sur écran que par les interprétations scolaires.
Ensuite, Les Trois Mousquetaires semble éloigné d’un imaginaire révolutionnaire. Ces soldats dévoués du roi semblent servir le régime monarchique. Mais la personnalité des mousquetaires les porte vers la désobéissance aux ordres, la fraternité et le panache. Même si Dumas jette également un regard ironique qui nuance l’image de courageux soldats. Arsène Lupin apparaît clairement inspiré de l’illégalisme anarchiste. Un criminel, par définition, défit l’ordre et les lois. Mais Évelyne Pieiller souligne la dimension solitaire du personnage qui ne s’inscrit pas dans une démarche collective. Ces personnages reflètent les révoltes du XIXe siècle. Mais surtout leurs échecs.
Le livre d’Évelyne Pieiller permet de souligner l’importance de l’imaginaire populaire, souvent méprisé par les milieux intellectuels et militants. L’identification à des personnages, à des pratiques de solidarité et d’action directe, peut attiser le désir de changer la société. Surtout, les romans du XIXe siècle ne s’inscrivent pas dans la posture contemporaine de la déploration victimaire. Le succès populaire de ces romans semble sans doute lié à la possibilité de s’identifier à des personnages qui résistent.
Au contraire, la « littérature populaire » écrite par la bourgeoisie montre un peuple de victimes à plaindre. Ce qui donne un peu moins envie de s’identifier et de se révolter. Les romans du XIXe siècle ne se contentent pas de dénoncer la société dans une résignation fataliste. Ils mettent en scène des personnages qui se battent, qui luttent et tiennent tête aux puissants avec style et panache. C’est donc un imaginaire davantage tourné vers l’action que vers la déploration.
Néanmoins, Évelyne Pieiller cède dans une forme de mélancolie de gauche, sorte de version progressiste du « c’était mieux avant ». Certes, il est possible de regretter le temps des barricades et des romans populaires. Cependant, il semble également important de s’appuyer sur les nouveaux imaginaires qui transgressent l’ordre capitaliste. Si le désir de révolution ne puise plus dans la littérature, d’autres formes de récits s’observent.
Le succès des séries reprend le modèle des feuilletons publiés dans les journaux du XIXe siècle. Ces récits montrent également des solidarités qui se tissent pour combattre les injustices. Malgré le poids économique des plateformes, les scénaristes des séries reflètent également une époque baignée dans le renouveau de la contestation sociale. Glorifier les imaginaires du passé ne doit pas déboucher vers un mépris de la culture populaire contemporaine et moins élitiste. Il semble important de s’appuyer sur ces nouveaux imaginaires pour attiser le désir de passer à l’action pour changer le monde.
Source : Evelyne Pieiller, Mousquetaires et Misérables. Écrire aussi grand que le peuple à venir : Dumas, Hugo, Baudelaire et quelques autres, Agone, 2022
Extrait publié dans le journal Le Monde diplomatique
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Christophe Goby, Mes châteaux d’If: Mousquetaires et Misérables, publié sur le site de Mars Actu le le 18 Mai 2022
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